Silence-décomposition

«"L’oeil cubiste" des auteurs, à la fois lucides et résilients, offre un début de réponse à la fragmentation du monde. Silence-décomposition est un hommage à l’écoute, mais aussi au mouvement. Le mouvement étant la loi qui régit la structure interne de l’oeuvre, qui assemble les fragments de vie et qui invite le lecteur au voyage.»

May Telmissany, Le Devoir

Silence-décomposition.
À l’écoute d’une fille

Stefania Becheanu et Pierre-Luc Landry
Montréal, Éditions Nota bene, collection «Indiscipline»
2017

“Ce livre est la rencontre entre deux artistes qui ont étudié le silence en s’y immergeant afin de déconstruire une chose et d’en reconstruire une autre, par les sensibilités de chacun, les images trouvées, les objets, les conversations entendues, les bruits de la ville enregistrés, etc.”

— PLL


Autres échos de la presse

Pierre-Alexandre Buisson, Ton Barbier

«La ville est un endroit où il est parfois difficile de trouver le silence, et les deux auteurs de cet étonnant essai sont pourtant parvenus à en faire l’expérience, à déconstruire un environnement sonore et à en tirer une réflexion. Alimenté par des fragments de conversations entendues, des images saisies au vol et l’ambiance urbaine qui ne dort jamais vraiment, ce texte propose un peu de paix dans un univers sans cesse survolté.»

Marjorie Rhéaume, Le fil rouge

«[...] de la typographie à la quatrième de couverture, quelque chose m’avait définitivement attirée vers ce livre. L’idée d’une rencontre entre deux artistes et d’une déconstruction du silence a piqué ma curiosité. [...] je l’ai débuté, pleine d’anticipation, pour mieux le refermer quelque heure plu tard, la tête remplie de réflexion et d’admiration pour cet étrange journal de ord [...].»

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