Cartographies II
Cartographies II
Couronne nord
Pierre-Luc Landry
Montréal, La Mèche
2017
Le premier titre des Cartographies, paru à l'automne 2016, était consacré à la Couronne Sud; le recueil de nouvelles Couronne Nord est la deuxième incartade de La Mèche dans les banlieues de la métropole québécoise. Ouvrage collectif dirigé par Pierre-Luc Landry.
Avec des textes de Marilou Craft (Laval), Patrick Isabelle (Mascouche et Terrebonne), Mélanie Jannard (Laval), Simon-Pier Labelle-Hogue (Sainte-Anne-des-Plaines), Catherine Leroux (Rosemère) et Mathieu Poulin (Saint-Eustache).
Autres échos de la presse
Dominic Tardif, Le Devoir
«Grâce à des perspectives mêlant dégoût, retour à l’enfance et désir de mythification, la banlieue quitterait-elle peu à peu la périphérie de notre imaginaire ? Deviendrait-elle ce territoire d’avenir que chantent les slogans de trop de villes de la Montérégie ? Bien qu’il confie candidement s’être déjà rendu coupable de condescendance envers le 450, Pierre-Luc Landry lance une mise en garde: “Ce sont des territoires qu’il ne faudrait pas mépriser, parce que ça se peut qu’on s’y retrouve un jour.” »
HHQC, La source du hip-hop québécois
«Les fans de rap pourront se régaler à plusieurs reprises pendant la lecture du livre Cartographies II: Couronne Nord, un recueil collectif de textes qui sortait aujourd’hui en librairie via la maison d'édition La Mèche. Par la fiction, les auteurs, originaires de la Rive‐Nord de Montréal, racontent leurs histoires de leur ville natale respective.»
Amélie Panneton, Le fil rouge
«Les nouvelles de Cartographies II : Couronne Nord ont ce don de nous ramener à nos recoins de mythes fondateurs, ceux qui dorment dans les lieux où on n’a pas choisi de grandir. Le recueil se pose sur la rive nord de Montréal, mais le projet est porté par une préoccupation pour les territoires oubliés, aplanis parce que traversés trop vite ou quittés à la hâte. Il ne s’agit pas ici d’idéaliser les municipalités mises en scène (les pamphlets touristiques des Basses-Laurentides et de Lanaudière peuvent dormir tranquilles), mais bien de les investir d’un sens et d’y déterrer des récits.»