Fin(s) du monde

Fin(s) du monde

Collectif sous la direction de Claire Cornillon, Nadja Djuric, Guido Furci, Louiza Kadari et Pierre Leroux
Bologna, Pendragon, collection «Studi e ricerche»
2013

La fin du monde reste un motif prégnant de l'imaginaire collectif, elle dessine un tableau aux variations inépuisables en littérature comme dans les autres arts. Si les horreurs du contemporain semblent marquer une rupture sur laquelle bute l'appréhension de l'homme, en revanche l'angoisse ou l'espérance liées à la fin sont ataviques, au point que même le positivismele plus récent n'a pu totalement les oblitérer. Ce constat soustendl'ensemble des contributions de ce recueil, qui interrogent des démarches issues de contextes historico-culturels différents —— de l'Antiquité classique à nos jours. Abordant des questions aussi diverses que complémentaires, elles s'organisent autour des axes suivants: téléologies à/dans l'oeuvre; seuils, passages, transitions; les temps d'après; usages politiques de la fin.

Titre du chapitre:

«L’Apocalypse et le début du futur. La fin du monde comme stratégie narrative chez Douglas Coupland»

écrit avec Florian Grandena

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